photo de Christophe Rivoiron
le noir se fait dans la salle
puis apparait une lumière
des contrastes qui sortiraient tout droit d'un tableau de Rembrandt
une composition de Munch
des personnages venus de l'univers de Ibsen ou d'un Bergman
peut-être aussi les Disparates de Goya
peut-être aussi les Disparates de Goya
la pièce est plutôt chorégraphique
le théâtre avec un peu mais plutôt sans paroles
du temps du cinéma muet avec un renouvellement permanent d'idées
qui finit par chavirer au burlesque de Buster Keaton
revenir à la finesse de trait de Maeterlinck
une sobriété et une justesse inouïes
des moments hallucinatoires
des principes qui seraient ceux de Kantor ou Grotowski
un tourbillon pour le spectacteur
je suis Morte d'Isabelle Esposito
on en ressort enthousiaste et joyeux d'avoir agonisé de cette façon
j'y retourne au moins le vendredi 2 avril une troisième fois
des moments hallucinatoires
des principes qui seraient ceux de Kantor ou Grotowski
un tourbillon pour le spectacteur
je suis Morte d'Isabelle Esposito
on en ressort enthousiaste et joyeux d'avoir agonisé de cette façon
j'y retourne au moins le vendredi 2 avril une troisième fois
c'est juste après le périph - à 2 minutes du métro Garibaldi
ligne 13 direction St-Denis
2 rue A. Bachelet - 93400 Saint-Ouen
résa au 01 40 11 50 23
seulement 13 euros en tarif plein - 9 euros en tarif réduit
je vous rembourse la place au cas où vous ne seriez pas emballé
en monkey business tendance harpo
bonnes sorties
Gregor
le genre de spectacle qu'il faut aller ressentir
et cueillir en bord de plateau